Fleurs champêtres (1895)

Robertine (Françoise) Barry

Notre phrase préférée :

Oui, c’est là vraiment la grande nature vierge, restée sauvage, inconquise et toujours grandiose. Son aspect, terrible et sublime tout à la fois, fascine, subjugue comme les mystères de l’infini que l’œil ne se rassasie jamais de contempler.

Genre :

Nouvelles, contes

Résumé :

Dans ces quelques récits en prose, Robertine Barry recueille, comme elle le précise elle-même, « les belles traditions, les touchantes coutumes, les naïves superstitions et jusqu’aux pittoresques expressions des habitants des campagnes canadiennes ». Comparée à Balzac et à George Sand par les critiques de l’époque, l’auteure brosse, au fil de 14 historiettes, un portrait réaliste et attentionné de la vie des paysans du Bas-Canada. De l’histoire d’amour de Madeleine et de son beau Pierre jusqu’au triste récit de la pauvre Gracieuse mourant dans l’indifférence de sa belle-mère, le recueil se tisse de dialogues savoureux et d’observations détaillées.

Résumé :

Dans ces quelques récits en prose, Robertine Barry recueille, comme elle le précise elle-même, « les belles traditions, les touchantes coutumes, les naïves superstitions et jusqu’aux pittoresques expressions des habitants des campagnes canadiennes ». Comparée à Balzac et à George Sand par les critiques de l’époque, l’auteure brosse, au fil de 14 historiettes, un portrait réaliste et attentionné de la vie des paysans du Bas-Canada. De l’histoire d’amour de Madeleine et de son beau Pierre jusqu’au triste récit de la pauvre Gracieuse mourant dans l’indifférence de sa belle-mère, le recueil se tisse de dialogues savoureux et d’observations détaillées.

Les premiers mots :

« « Quel temps écrasant ! Nous allons avoir de la pluie, c’est sûr. » »