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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :Les charmes de sa conversation redoublaient encore par cette envie de plaire qui est à l’esprit ce que la parure est à la beauté ;
Nouvelles, contes
Zadig ou La Destinée est un conte philosophique que Voltaire publie pour la première fois en 1747 sous le titre de Memnon puis allongea très vite et intitula Zadig. Ce conte décrit, dans un orient tout de fiction, un parcours, celui d'un jeune homme de Babylone qui, après quelques déboires mais croyant toujours à la possibilité d'être heureux, devient, grâce à ses grandes qualités, premier ministre mais doit quitter le pays à cause de l'amour compromettant de la reine Astarté. Vendu comme esclave en Égypte, menacé du bûcher, fait prisonnier par un redoutable brigand, il parvient cependant à retrouver sa patrie et l'amour de la reine qu'il a libérée de l'esclavage où elle était tombée. Mais... avec Zadig, il y a toujours un « mais ». Est-il au bout de ses peines ? Ce serait compter sans l'esprit de Voltaire qui oscille entre la parodie des romans, la recréation de l'atmosphère des Mille et une nuits, et une réflexion sur le bonheur et la Providence.
Zadig ou La Destinée est un conte philosophique que Voltaire publie pour la première fois en 1747 sous le titre de Memnon puis allongea très vite et intitula Zadig. Ce conte décrit, dans un orient tout de fiction, un parcours, celui d'un jeune homme de Babylone qui, après quelques déboires mais croyant toujours à la possibilité d'être heureux, devient, grâce à ses grandes qualités, premier ministre mais doit quitter le pays à cause de l'amour compromettant de la reine Astarté. Vendu comme esclave en Égypte, menacé du bûcher, fait prisonnier par un redoutable brigand, il parvient cependant à retrouver sa patrie et l'amour de la reine qu'il a libérée de l'esclavage où elle était tombée. Mais... avec Zadig, il y a toujours un « mais ». Est-il au bout de ses peines ? Ce serait compter sans l'esprit de Voltaire qui oscille entre la parodie des romans, la recréation de l'atmosphère des Mille et une nuits, et une réflexion sur le bonheur et la Providence.
« Du temps du roi Moabdar il y avait à Babylone un jeune homme nommé Zadig, né avec un beau naturel fortifié par l'éducation. Quoique riche et jeune, il savait modérer ses passions ; il n'affectait rien ; il ne voulait point toujours avoir raison, et savait respecter la faiblesse des hommes. »
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