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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :Quand la fortune me souriait, tout mon espoir était que vous fussiez à moi ; pauvre aujourd’hui, je me ferais horreur si j’osais encore y songer, et du moment que je ne puis vous rendre heureuse, tout en mourant d’amour, je vous défends de m’aimer…
Roman
La Mouche est un conte d'Alfred de Musset, la dernière œuvre publiée de son vivant, dans le feuilleton du journal Le Moniteur en 1853. Il raconte avec toute la légèreté amère propre aux comédies et certaines poésies de son auteur et à son sujet la rencontre entre un jeune chevalier de vingt ans et le Marquise de Pompadour, à Trianon. Tout commence par une lettre d'amour que la marquise lit au roi, adressée à la nièce d'une de ses amie par le fameux jeune homme. Celui-ci gagne Versailles et cherche à voir la Marquise dont il veut obtenir l'appui pour son brevet et son mariage. Il y parvient en se voyant confier, par un page victime d'une chute de cheval, un message du roi pour cette dame, dont il a la veille, par un salutaire hasard, ramassé l'éventail. L'intrigue politique s'invite ensuite dans ce badinage, mais le jeune homme a de l'honneur et ne trahit pas celle qui l'a protégé. Alors l'honneur engendre le bonheur.
La Mouche est un conte d'Alfred de Musset, la dernière œuvre publiée de son vivant, dans le feuilleton du journal Le Moniteur en 1853. Il raconte avec toute la légèreté amère propre aux comédies et certaines poésies de son auteur et à son sujet la rencontre entre un jeune chevalier de vingt ans et le Marquise de Pompadour, à Trianon. Tout commence par une lettre d'amour que la marquise lit au roi, adressée à la nièce d'une de ses amie par le fameux jeune homme. Celui-ci gagne Versailles et cherche à voir la Marquise dont il veut obtenir l'appui pour son brevet et son mariage. Il y parvient en se voyant confier, par un page victime d'une chute de cheval, un message du roi pour cette dame, dont il a la veille, par un salutaire hasard, ramassé l'éventail. L'intrigue politique s'invite ensuite dans ce badinage, mais le jeune homme a de l'honneur et ne trahit pas celle qui l'a protégé. Alors l'honneur engendre le bonheur.
« En 1756, lorsque Louis XV, fatigué des querelles entre la magistrature et le grand conseil, à propos de l'impôt des deux sous, prit le parti de tenir un lit de justice, les membres du parlement remirent leurs offices. Seize de ces démissions furent acceptées, sur quoi il y eut autant d'exils. »
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