Magnétisme (1882)

Guy de Maupassant

Notre phrase préférée :

Vous avez tous fait de ces rêves singuliers, n’est-ce pas, qui vous rendent maîtres de l’impossible, qui vous ouvrent des portes infranchissables, des joies inespérées, des bras impénétrables ?

Genres :

Fantastique, science-fiction - Nouvelles, contes

Résumé :

Comme Rêves, une autre nouvelle de Maupassant publiée dans le même recueil posthume de 1899, Le Père Milon, après l'avoir été dans Gil Blas en 1882, Magnétisme commence par une conversation entre hommes sur le magnétisme, Donato, magnétiseur, et Charcot, célèbre professeur de médecine pratiquant l'hypnose que celui qui va monopoliser la parole compare avec scepticisme à Edgar Poe. « Des blagues ! ». Le « nieur » entreprend alors de raconter deux histoires dans lesquelles les rêves apportent des messages : dans la première, un enfant apprend la mort de son père marin parti en mer ; dans la seconde, le narrateur lui-même tombe amoureux d'une femme qui ne l'intéresse pas et en fait sa maîtresse à son réveil. Le récit qu'il fait de ces deux anecdotes parviendra-t-il à ébranler son incrédulité ?

Résumé :

Comme Rêves, une autre nouvelle de Maupassant publiée dans le même recueil posthume de 1899, Le Père Milon, après l'avoir été dans Gil Blas en 1882, Magnétisme commence par une conversation entre hommes sur le magnétisme, Donato, magnétiseur, et Charcot, célèbre professeur de médecine pratiquant l'hypnose que celui qui va monopoliser la parole compare avec scepticisme à Edgar Poe. « Des blagues ! ». Le « nieur » entreprend alors de raconter deux histoires dans lesquelles les rêves apportent des messages : dans la première, un enfant apprend la mort de son père marin parti en mer ; dans la seconde, le narrateur lui-même tombe amoureux d'une femme qui ne l'intéresse pas et en fait sa maîtresse à son réveil. Le récit qu'il fait de ces deux anecdotes parviendra-t-il à ébranler son incrédulité ?

Les premiers mots :

« C'était à la fin d'un dîner d'hommes, à l'heure des interminables cigares et des incessants petits verres, dans la fumée et l'engourdissement chaud des digestions, dans le léger trouble des têtes après tant de viandes et de liqueurs absorbées et mêlées. »