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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :L’amour était pour moi la vie de l’âme, comme l’air est la vie du corps.
Nouvelles, contes
Confessions d'une femme de Maupassant est l'histoire d'une méprise due à la jalousie. Le titre renvoie à la narratrice qui la raconte ; pourtant, jusqu'à la dernière phrase, il ne s'agit pas d'une confession mais d'une dénonciation : une femme fait le récit du meurtre dont se rend coupable son mari un soir d'automne. Jaloux, invitant son épouse à une chasse au renard, il tue de sang-froid celui qu'il a pris pour son amant et qui est celui de la bonne Paquita qui, ayant découvert l'horrible vérité, se jette sur le corps de son amant, amoureuse éplorée. Cette scène nocturne est à l'origine d'une décision dans la vie de cette femme, que la nouvelle livre à la dernière phrase. Mais ce qui l'a provoquée, est-ce la jalousie meurtrière de son mari ou le spectacle de l'amour dont elle fut témoin ? Cette nouvelle fut publiée d'abord en 1882 dans la revue Gil Blas, sous le pseudonyme Maufrigneuse, puis en 1899 dans le recueil posthume Le Père Milon.
Confessions d'une femme de Maupassant est l'histoire d'une méprise due à la jalousie. Le titre renvoie à la narratrice qui la raconte ; pourtant, jusqu'à la dernière phrase, il ne s'agit pas d'une confession mais d'une dénonciation : une femme fait le récit du meurtre dont se rend coupable son mari un soir d'automne. Jaloux, invitant son épouse à une chasse au renard, il tue de sang-froid celui qu'il a pris pour son amant et qui est celui de la bonne Paquita qui, ayant découvert l'horrible vérité, se jette sur le corps de son amant, amoureuse éplorée. Cette scène nocturne est à l'origine d'une décision dans la vie de cette femme, que la nouvelle livre à la dernière phrase. Mais ce qui l'a provoquée, est-ce la jalousie meurtrière de son mari ou le spectacle de l'amour dont elle fut témoin ? Cette nouvelle fut publiée d'abord en 1882 dans la revue Gil Blas, sous le pseudonyme Maufrigneuse, puis en 1899 dans le recueil posthume Le Père Milon.
« Mon ami, vous m'avez demandé de vous raconter les souvenirs les plus vifs de mon existence. Je suis très vieille, sans parents, sans enfants ; je me trouve donc libre de me confesser à vous. Promettez-moi seulement de ne jamais dévoiler mon nom. »
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