La Veillée (1882)

Guy de Maupassant

Notre phrase préférée :

Il semblait triste, de cette fausse tristesse d’ecclésiastique pour qui la mort est un gagne-pain.

Genre :

Nouvelles, contes

Résumé :

La Veillée est une nouvelle de Maupassant publiée dans la revue Gil Blas en 1882 puis dans le recueil posthume de 1899 intitulé Le Père Milon. Comme son titre l'indique, cette nouvelle est un véritable tableau : un fils, magistrat, et une fille, religieuse, tous deux éplorés, veillent leur mère qui vient de mourir. Ils sont, comme leur attitude et les vies qu'ils ont choisies, le pur produit de la morale sévère avec laquelle leur mère les a éduqués. Mais la fille a tout à coup l'idée de lire auprès de la défunte, à voix haute, pour apprendre tout d'elle et comme lui raconter sa propre histoire, ses lettres qu'elle conservait dans un tiroir. Et ce qui devait être un adieu paisible devient une révélation, même si chez Maupassant les coups de théâtre se passent toujours sans bruit.

Résumé :

La Veillée est une nouvelle de Maupassant publiée dans la revue Gil Blas en 1882 puis dans le recueil posthume de 1899 intitulé Le Père Milon. Comme son titre l'indique, cette nouvelle est un véritable tableau : un fils, magistrat, et une fille, religieuse, tous deux éplorés, veillent leur mère qui vient de mourir. Ils sont, comme leur attitude et les vies qu'ils ont choisies, le pur produit de la morale sévère avec laquelle leur mère les a éduqués. Mais la fille a tout à coup l'idée de lire auprès de la défunte, à voix haute, pour apprendre tout d'elle et comme lui raconter sa propre histoire, ses lettres qu'elle conservait dans un tiroir. Et ce qui devait être un adieu paisible devient une révélation, même si chez Maupassant les coups de théâtre se passent toujours sans bruit.

Les premiers mots :

« Elle était morte sans agonie, tranquillement, comme une femme dont la vie fut irréprochable (…) »