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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :Les lois sont des toiles d’araignées à travers lesquelles passent les grosses mouches et où restent les petites.
Roman
La Maison Nucingen, est un roman de Balzac paru en feuilleton dans La Presse fin 1837 puis en volume quelques mois plus tard, avant de rejoindre en 1844 les Scènes de la vie parisiennes de l'édition Furne de La Comédie humaine. On y retrouve les personnage du baron de Nucingen, banquier de très grande influence, et de l'intrigant arriviste Rastignac, qui étaient apparus dans le célèbre Père Goriot. Le roman met en scène les spéculations boursières et les manipulations des marchés financiers, les combines sans scrupule du banquier pour accroître sa fortune aux dépens d'une aristocratie en déréliction qu'il berne en utilisant des hommes bien vus de la bonne société comme Rastignac, des hommes de paille qui, comme lui, ne cherchent qu'à s'enrichir. Ce texte de Balzac est un roman doublé d'un traité de technique financière, montrant un cynisme qui n'a rien à envier aux prédations de notre époque.
La Maison Nucingen, est un roman de Balzac paru en feuilleton dans La Presse fin 1837 puis en volume quelques mois plus tard, avant de rejoindre en 1844 les Scènes de la vie parisiennes de l'édition Furne de La Comédie humaine. On y retrouve les personnage du baron de Nucingen, banquier de très grande influence, et de l'intrigant arriviste Rastignac, qui étaient apparus dans le célèbre Père Goriot. Le roman met en scène les spéculations boursières et les manipulations des marchés financiers, les combines sans scrupule du banquier pour accroître sa fortune aux dépens d'une aristocratie en déréliction qu'il berne en utilisant des hommes bien vus de la bonne société comme Rastignac, des hommes de paille qui, comme lui, ne cherchent qu'à s'enrichir. Ce texte de Balzac est un roman doublé d'un traité de technique financière, montrant un cynisme qui n'a rien à envier aux prédations de notre époque.
« Vous savez combien sont minces les cloisons qui séparent les cabinets particuliers dans les plus élégants cabarets de Paris. »
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