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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Moeurs contemporaines - Tome I
Notre phrase préférée :Mais le coeur des mères, même de celles-là, est fait de telle sorte, que plus les enfants sont loin, plus elles les aiment, comme si elles voulaient, à force d’amour, combler la distance et rapprocher les coeurs.
Roman
Jack, sous-titré Mœurs contemporaines, est un roman d'Alphonse Daudet publié d'abord en feuilleton dans Le Moniteur universel en 1875 puis en volumes l'année suivante. Son auteur le décrit comme un livre de pitié, de colère et d'ironie et le dédie à Gustave Flaubert, ami et maître. Il conte l'histoire d'un petit garçon de sept ans qui n'a pas connu son père et que sa mère, Ida de Barancy, une fausse comtesse, veut mettre en pension pour pouvoir vivre sa vie. Refusé par un établissement chic, il échoue au Gymnase Moronval, où sa mère tombe amoureuse du professeur de littérature, qui s'avère poète ombrageux et raté qui s'acharne sur le pauvre Jack, également confronté la bêtise de ses camarades. Roman émouvant, ce texte du père du célèbre Tartarin de Tarascon est aussi une observation juste des conditions sociales d'une époque et des caractères qui permet à son auteur de rejoindre dans leur réussite les Zola et les Dickens.
Jack, sous-titré Mœurs contemporaines, est un roman d'Alphonse Daudet publié d'abord en feuilleton dans Le Moniteur universel en 1875 puis en volumes l'année suivante. Son auteur le décrit comme un livre de pitié, de colère et d'ironie et le dédie à Gustave Flaubert, ami et maître. Il conte l'histoire d'un petit garçon de sept ans qui n'a pas connu son père et que sa mère, Ida de Barancy, une fausse comtesse, veut mettre en pension pour pouvoir vivre sa vie. Refusé par un établissement chic, il échoue au Gymnase Moronval, où sa mère tombe amoureuse du professeur de littérature, qui s'avère poète ombrageux et raté qui s'acharne sur le pauvre Jack, également confronté la bêtise de ses camarades. Roman émouvant, ce texte du père du célèbre Tartarin de Tarascon est aussi une observation juste des conditions sociales d'une époque et des caractères qui permet à son auteur de rejoindre dans leur réussite les Zola et les Dickens.
« Par un K, monsieur le supérieur, par un K. Le nom s'écrit et se prononce à l'anglaise... comme ceci Djack... Le parrain de l'enfant était anglais, major général dans l'armée des Indes... lord Peambock... Vous connaissez peut-être ? »
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