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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :J’avais seize ans, et je sortais du collège, quand une belle dame de notre connaissance me distingua pour la première fois. À cet âge-là, peut-on savoir ce qui est innocent ou criminel ?
Théâtre
« Il ne faut jurer de rien » est une comédie d'Alfred de Musset parue en 1836 dans la « Revue des deux mondes » conformément à la décision de son auteur, après l'échec de sa première pièce sur scène, de ne plus écrire de théâtre que destiné à être lu « dans un fauteuil ». C'est aussi une comédie-proverbe, illustration de la vérité proverbiale qui lui donne son titre. Elle raconte le défi que relève Valentin, un jeune homme libertin, insouciant et dépensier, à qui son oncle refuse de prêter à nouveau de l'argent, à moins qu'il se marie. Valentin a peur du mariage parce qu'il a peur de l'infidélité des femmes, mais il accepte cependant, à condition que sa promise, Cécile de Mantes, qu'il fait le pari de séduire en huit jours, résiste à ses assauts, démontrant ainsi qu'il aurait tort de ne pas l'épouser. Le titre de la pièce rend le dénouement assez transparent : Valentin, malgré ses stratagèmes, et croyant seulement passer du bon temps, tombe sincèrement amoureux de la jeune fille. Il ne faut donc jurer de rien, mais aussi tel est pris qui croyait prendre.
« Il ne faut jurer de rien » est une comédie d'Alfred de Musset parue en 1836 dans la « Revue des deux mondes » conformément à la décision de son auteur, après l'échec de sa première pièce sur scène, de ne plus écrire de théâtre que destiné à être lu « dans un fauteuil ». C'est aussi une comédie-proverbe, illustration de la vérité proverbiale qui lui donne son titre. Elle raconte le défi que relève Valentin, un jeune homme libertin, insouciant et dépensier, à qui son oncle refuse de prêter à nouveau de l'argent, à moins qu'il se marie. Valentin a peur du mariage parce qu'il a peur de l'infidélité des femmes, mais il accepte cependant, à condition que sa promise, Cécile de Mantes, qu'il fait le pari de séduire en huit jours, résiste à ses assauts, démontrant ainsi qu'il aurait tort de ne pas l'épouser. Le titre de la pièce rend le dénouement assez transparent : Valentin, malgré ses stratagèmes, et croyant seulement passer du bon temps, tombe sincèrement amoureux de la jeune fille. Il ne faut donc jurer de rien, mais aussi tel est pris qui croyait prendre.
« VAN BUCK : Monsieur mon neveu, je vous souhaite le bonjour.
VALENTIN : Monsieur mon oncle, votre serviteur.
VAN BUCK : Restez assis ; j'ai à vous parler.
VALENTIN : Asseyez-vous ; j'ai donc à vous entendre. Veuillez vous mettre dans la bergère, et poser là voter chapeau. »
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