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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :La vie libre et cultivée des gens aisés les met sans cesse en présence des chefs-d’oeuvre de l’art ou en rapport avec des types qu’autour d’eux ils voient apprécier par l’esprit de critique répandu dans la société.
Nouvelles, contes - Roman
Dans Le compagnon du tour de France, écrit en 1840, George Sand met en scène, en s'inspirant des idées de l'utopiste Pierre Leroux et du Livre du compagnonnage d'Agricol Perdiguier, la restauration, en 1823, des boiseries de la chapelle d'un comte par le père Huguenin et son fils Pierre, qui vient d'achever son tour de France des Compagnons. Peu après les travaux, la blessure dont est victime le vieux menuiser amène Pierre à partir à la recherche de son ami Amaury le Corinthien. Tous deux rêvent d'un monde plus égalitaire mais doivent se heurter aux réalités des barrières sociales : la tolérance du comte a des limites, que Pierre éprouvera durement lorsqu'il s'éprendra d'Yseut de Villepreux, la fille de l'aristocrate.
Dans Le compagnon du tour de France, écrit en 1840, George Sand met en scène, en s'inspirant des idées de l'utopiste Pierre Leroux et du Livre du compagnonnage d'Agricol Perdiguier, la restauration, en 1823, des boiseries de la chapelle d'un comte par le père Huguenin et son fils Pierre, qui vient d'achever son tour de France des Compagnons. Peu après les travaux, la blessure dont est victime le vieux menuiser amène Pierre à partir à la recherche de son ami Amaury le Corinthien. Tous deux rêvent d'un monde plus égalitaire mais doivent se heurter aux réalités des barrières sociales : la tolérance du comte a des limites, que Pierre éprouvera durement lorsqu'il s'éprendra d'Yseut de Villepreux, la fille de l'aristocrate.
« Le village de Villepreux était, au dire de M. Lerebours, le plus bel endroit du département de Loir-et-Cher, et l’homme le plus capable dudit village était, au sentiment secret de M. Lerebours, M. Lerebours lui-même, quand la noble famille de Villepreux, dont il était le représentant, n’occupait pas son majestueux et antique manoir de Villepreux. »
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