Les rayons du nord (1909)

Poésies canadiennes

William Chapman

Notre phrase préférée :

Plus je vieillis, plus j’aime à me ressouvenir.

Genre :

Poésie

Résumé :

Les Rayons du Nord est un recueil de poèmes de William Chapman, journaliste et traducteur canadien, qui rassemble des pièces poétiques de facture classique, souvent très longs, en alexandrins, dont la thématique est en grande partie politique et nationale comme l'indique la dédicace du premier poème « Nos trois couleurs », « Aux Canadiens qui veulent remplacer le drapeau tricolore par la bannière du Sacré-Cœur comme emblème national », ou encore « À Sir Wilfrid Laurier » sous-titré « À propos de l’entente anglo-française », ou enfin ces hommages à la France à travers les Bretons ou Frédéric Mistral. Mais celle-ci se double des ambitions personnelles démesurées du poète qui ne rêve que du Prix Nobel, au fondateur duquel il n'hésite pas à consacrer un texte de neuf pages. Plus modestement, Les Rayons du Nord est couronné par l'Académie française qui lui donne le prix Archon-Despérouses.

Résumé :

Les Rayons du Nord est un recueil de poèmes de William Chapman, journaliste et traducteur canadien, qui rassemble des pièces poétiques de facture classique, souvent très longs, en alexandrins, dont la thématique est en grande partie politique et nationale comme l'indique la dédicace du premier poème « Nos trois couleurs », « Aux Canadiens qui veulent remplacer le drapeau tricolore par la bannière du Sacré-Cœur comme emblème national », ou encore « À Sir Wilfrid Laurier » sous-titré « À propos de l’entente anglo-française », ou enfin ces hommages à la France à travers les Bretons ou Frédéric Mistral. Mais celle-ci se double des ambitions personnelles démesurées du poète qui ne rêve que du Prix Nobel, au fondateur duquel il n'hésite pas à consacrer un texte de neuf pages. Plus modestement, Les Rayons du Nord est couronné par l'Académie française qui lui donne le prix Archon-Despérouses.

Les premiers mots :

« Quoi ! vous voulez chasser l’étendard de la France,
Comme vous chasseriez un ignoble oripeau !
Quoi ! vous voulez changer tout à coup de drapeau !…
C’est de la trahison et c’est de la démence. »