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Réflexions sur la vie 1905-1907
Notre phrase préférée :Je ne prétends pas avoir toute ma raison, car les choses folles laissent toujours quelques traces dans le cerveau où elles passent.
Biographie, mémoires - Documents et essais
Les Épilogues de R. de Gourmont sont un ensemble de quatre livres, de la première à la quatrième série, portant le sous-titre de Réflexions sur la vie, publiés de 1903 à 1913. Il s'agit donc de chroniques, de pensées, assez brèves, venues à l'auteur à propos des événements qu'il rencontre au jour le jour, présentés par année et par mois, alliant l'analyse au jugement et à la critique. On y rencontre aussi bien des notes sur la littérature et les écrivains, des considérations qu'on pourrait qualifier de politiques ou géo-politiques, des sujets de société très contemporains comme le féminisme ou la question du latin, et d'autres brèves méditations sur des sujets plus farfelus et plus inattendus comme les Peupliers du Quai d'Orsay ou les bêtes-mendiantes du Jardin des Plantes. Dans un des épilogues du troisième tome, R. de Gourmont désigne lui-même ses textes et leurs finalités premières : « Il y a certainement un public que ces « divagations » intéressent, et d'ailleurs j'écris pour clarifier mes propres idées. »
Les Épilogues de R. de Gourmont sont un ensemble de quatre livres, de la première à la quatrième série, portant le sous-titre de Réflexions sur la vie, publiés de 1903 à 1913. Il s'agit donc de chroniques, de pensées, assez brèves, venues à l'auteur à propos des événements qu'il rencontre au jour le jour, présentés par année et par mois, alliant l'analyse au jugement et à la critique. On y rencontre aussi bien des notes sur la littérature et les écrivains, des considérations qu'on pourrait qualifier de politiques ou géo-politiques, des sujets de société très contemporains comme le féminisme ou la question du latin, et d'autres brèves méditations sur des sujets plus farfelus et plus inattendus comme les Peupliers du Quai d'Orsay ou les bêtes-mendiantes du Jardin des Plantes. Dans un des épilogues du troisième tome, R. de Gourmont désigne lui-même ses textes et leurs finalités premières : « Il y a certainement un public que ces « divagations » intéressent, et d'ailleurs j'écris pour clarifier mes propres idées. »
« M. DESMAISONS.– Bonjour, mon cher Delarue, c’est bien aimable à vous de venir me voir, en cette sombre journée. »
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