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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :Mars est à l’homme ce que Sirius est aux abeilles et aux fourmis. Les abeilles tuent leurs mâles, les fourmis envoient leurs guerriers en campagne dès que Sirius monte au Zénith et l’homme s’entretue irrésistiblement, sans cela la terre serait obligée d’être submergée à nouveau.
Roman
La Houille rouge, est un roman de la féministe française Odette Dulac publié en 1916 et dénonçant la condition des femmes pendant la première guerre mondiale. S'il est sous-titré Les enfants de la violence c'est parce que le sujet est plus exactement le viol et les enfants issus des viols perpétrés en temps de guerre. Il met en effet en scène un groupe de femmes qui se sont rencontrées dans la salle d'attente d'un cabinet d'une faiseuse d'anges : Jeanne Deckes, étudiante en médecine, Mme Breton de L’Écluse, membre de la noblesse et Sylvia Maingaud, professeur de piano. Ce roman, plutôt que d'asséner des idéologies, présente un débat nuancé et les opinions des différents camps autour de la question de l'avortement.
La Houille rouge, est un roman de la féministe française Odette Dulac publié en 1916 et dénonçant la condition des femmes pendant la première guerre mondiale. S'il est sous-titré Les enfants de la violence c'est parce que le sujet est plus exactement le viol et les enfants issus des viols perpétrés en temps de guerre. Il met en effet en scène un groupe de femmes qui se sont rencontrées dans la salle d'attente d'un cabinet d'une faiseuse d'anges : Jeanne Deckes, étudiante en médecine, Mme Breton de L’Écluse, membre de la noblesse et Sylvia Maingaud, professeur de piano. Ce roman, plutôt que d'asséner des idéologies, présente un débat nuancé et les opinions des différents camps autour de la question de l'avortement.
« LA HOUILLE ROUGE
– Madame Rhoea, s’il vous plaît ?
– Au second, les deux portes ; sonnez à droite !… Ce renseignement une fois donné, sur un ton moins qu’aimable, la concierge du 106 de la rue Notre-
Dame-de-Lorette tourna le dos à la questionneuse. »
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