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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Notre phrase préférée :Mais ne me dit pas que la Révolution établira l'égalité, parce que les hommes ne seront jamais égaux ; ce n'est pas possible, et l'on a beau mettre le pays sans dessus dessous : il y aura toujours des grands et des petits, des gras et des maigres.
Roman
Avec toute l’apparence d’un roman historique, l’histoire des se déroule pendant la Terreur. Les personnages fictifs y croisent des personnages réels comme Robespierre ou Fouquier-Tinville. Le récit met en scène Évariste Gamelin, un jeune peintre parisien devenu un fanatique révolutionnaire. Juré du Tribunal révolutionnaire, son indifférence à envoyer les accusés à la mort contraste avec son personnage que tout dispose à la gentillesse, voire à la faiblesse. Par ailleurs, son amour avec Élodie, la fille de son marchand d’estampes, accentue encore le paradoxe d’un homme pris dans une passion sanguinaire dont il ne réalise pas vraiment les extrémités meurtrières. Ce roman, considéré comme l’un des plus importants d’Anatole France, nous livre au-delà de l’œuvre de fiction une vision moderne de l’histoire ainsi qu’un questionnement sur le pouvoir.
Avec toute l’apparence d’un roman historique, l’histoire des se déroule pendant la Terreur. Les personnages fictifs y croisent des personnages réels comme Robespierre ou Fouquier-Tinville. Le récit met en scène Évariste Gamelin, un jeune peintre parisien devenu un fanatique révolutionnaire. Juré du Tribunal révolutionnaire, son indifférence à envoyer les accusés à la mort contraste avec son personnage que tout dispose à la gentillesse, voire à la faiblesse. Par ailleurs, son amour avec Élodie, la fille de son marchand d’estampes, accentue encore le paradoxe d’un homme pris dans une passion sanguinaire dont il ne réalise pas vraiment les extrémités meurtrières. Ce roman, considéré comme l’un des plus importants d’Anatole France, nous livre au-delà de l’œuvre de fiction une vision moderne de l’histoire ainsi qu’un questionnement sur le pouvoir.
« Évariste Gamelin, peintre, élève de David, membre de la section du Pont-Neuf, précédemment section Henri IV, s’était rendu de bon matin à l’ancienne église des Barnabites, qui depuis trois ans, depuis le 21 mai 1790, servait de siège à l’assemblée générale de la section. »
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