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romans goguenards
Notre phrase préférée :A moins qu’il n’eût jeté le contenu par la fenêtre, ce qui est peu probable, il devait mathématiquement et logiquement être ivre-mort.
Histoire
Les « Jeunes-France » désignèrent dans les années 1830 la jeunesse romantique extravagante qui se distinguait par ses outrances langagières et vestimentaires et par ses idées contestataires opposées au conformisme de l’époque. Théophile Gautier, qui fut l’un des chefs de file du mouvement, publia Les Jeunes-France, romans goguenards en 1833. Ce recueil composé de six portraits-satires décrit avec humour et panache les excès de langage, de conduite et de parure d’une jeunesse passionnée d’art qui rêvait de « mettre la planète à l’envers » mais qui ne manqua pourtant pas de rentrer plus tard dans l’ordre bourgeois qu’elle dénonçait si ardemment. Ces six romans « goguenards » truffés de citations moqueuses marquent aussi la véritable entrée en littérature de Théophile Gautier.
Les « Jeunes-France » désignèrent dans les années 1830 la jeunesse romantique extravagante qui se distinguait par ses outrances langagières et vestimentaires et par ses idées contestataires opposées au conformisme de l’époque. Théophile Gautier, qui fut l’un des chefs de file du mouvement, publia Les Jeunes-France, romans goguenards en 1833. Ce recueil composé de six portraits-satires décrit avec humour et panache les excès de langage, de conduite et de parure d’une jeunesse passionnée d’art qui rêvait de « mettre la planète à l’envers » mais qui ne manqua pourtant pas de rentrer plus tard dans l’ordre bourgeois qu’elle dénonçait si ardemment. Ces six romans « goguenards » truffés de citations moqueuses marquent aussi la véritable entrée en littérature de Théophile Gautier.
« Qu’est-ce que la vertu ? rien, moins que rien, un mot
À rayer de la langue. Il faudrait être sot
Comme un provincial débarqué par le coche
Pour y croire. »
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