Caprices et zigzags (1852)

Théophile Gautier

Notre phrase préférée :

Quant aux brides, aux mors, aux têtières, aux frontails, nos langues du Nord sont trop froides, trop pauvres, trop mesquines, pour en décrire les somptuosités.

Genre :

Nouvelles, contes

Résumé :

Caprices et Zigzags est un recueil de proses publié en 1852 qui regroupe douze récits de voyage, de la Belgique à l’Inde en passant par Londres ou les Bayadères. L’œuvre de cet auteur romantique s’est toujours distinguée de celle de ses congénères par le refus d’une vision trop moraliste de la littérature, en adoptant des préoccupations formalistes, traquant le cliché et goûtant le paradoxe. Ce recueil, qui appartient aux écrits rares et oubliés de Théophile Gautier, n’échappe pas à la règle ; déjà son titre annonce une intention déviante. Les récits recueillis dans Caprices et Zigzags sont en réalité des voyages originaux rassemblés sous la bannière du « récit excentrique », récits insolents et extravertis qui dénoncent les poncifs associés traditionnellement aux récits de voyages.

Résumé :

Caprices et Zigzags est un recueil de proses publié en 1852 qui regroupe douze récits de voyage, de la Belgique à l’Inde en passant par Londres ou les Bayadères. L’œuvre de cet auteur romantique s’est toujours distinguée de celle de ses congénères par le refus d’une vision trop moraliste de la littérature, en adoptant des préoccupations formalistes, traquant le cliché et goûtant le paradoxe. Ce recueil, qui appartient aux écrits rares et oubliés de Théophile Gautier, n’échappe pas à la règle ; déjà son titre annonce une intention déviante. Les récits recueillis dans Caprices et Zigzags sont en réalité des voyages originaux rassemblés sous la bannière du « récit excentrique », récits insolents et extravertis qui dénoncent les poncifs associés traditionnellement aux récits de voyages.

Les premiers mots :

« Avant de commencer le récit de ma triomphante expédition, je crois devoir déclarer à l’univers qu’il ne trouvera ici ni hautes considérations politiques, ni théories sur les chemins de fer, ni plaintes à propos de contrefaçons, ni tirades dithyrambiques en l’honneur des millions au service de toute entreprise dans cet heureux pays de Belgique, véritable Eldorado industriel ; »