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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Tome II
Notre phrase préférée :Schahriar, curieux d’apprendre le dénouement de cette histoire, prolongea encore la vie de Scheherazade.
Nouvelles, contes
Le sultan Schahryar, n’ayant aucune confiance en la fidélité des femmes, a décidé de faire mettre à mort au matin de la nuit de noces toutes celles qu’il épouserait. La fille du vizir, Schéhérazade, échappe à ce massacre en racontant chaque nuit une histoire nouvelle qu’elle prend soin de ne pas achever avant l’aube, afin d’exciter la curiosité du sultan ; si bien que les histoires s’enchaînent et s’imbriquent pendant 1001 nuits. Il s’agit de contes populaires arabes, iraniens et indiens, issus d’une tradition orale qui peut remonter au IIIème siècle, et qui ont été consignés par écrit en arabe au XIIIème siècle. La traduction qui est proposée ici, celle d’A. Gallant, date du XVIIIème siècle, une époque où l’on est, en France, très curieux de l’Orient.
Le sultan Schahryar, n’ayant aucune confiance en la fidélité des femmes, a décidé de faire mettre à mort au matin de la nuit de noces toutes celles qu’il épouserait. La fille du vizir, Schéhérazade, échappe à ce massacre en racontant chaque nuit une histoire nouvelle qu’elle prend soin de ne pas achever avant l’aube, afin d’exciter la curiosité du sultan ; si bien que les histoires s’enchaînent et s’imbriquent pendant 1001 nuits. Il s’agit de contes populaires arabes, iraniens et indiens, issus d’une tradition orale qui peut remonter au IIIème siècle, et qui ont été consignés par écrit en arabe au XIIIème siècle. La traduction qui est proposée ici, celle d’A. Gallant, date du XVIIIème siècle, une époque où l’on est, en France, très curieux de l’Orient.
« Dinarzade ne tint pas exactement la promesse qu’elle avait faite de réveiller sa soeur de meilleure heure, et la nuit était très avancée, lorsque
Scheherazade, s’adressant au sultan, son époux, reprit le cours de son récit, qu’elle continua les nuits suivantes de la manière accoutumée : »
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