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642 classiques de la littérature francophone, disponibles gratuitement
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Tome II - À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Notre phrase préférée :Le temps dont nous disposons chaque jour est élastique ; les passions que nous ressentons le dilatent, celles que nous inspirons le rétrécissent, et l'habitude le remplit.
Roman
Dans ce 2ème volume de La Recherche (cf. Du côté de chez Swann) le narrateur est adolescent. Il est amoureux de Gilberte Swann qu’il a rencontrée à Combray. A Paris il se fait admettre chez ses parents. Il est fasciné par leur luxe et la beauté de Mme Swann. Il rend souvent visite à Gilberte, puis leurs relations s’espacent et il en souffre. M. Swann lui fait rencontrer l’écrivain Bergotte, à qui il parle de son désir d’écrire. Deux ans plus tard le narrateur se trouve sur la côte normande à Balbec qu’il rêvait de visiter. Il est très déçu par la réalité des lieux, mais intéressé par un groupe de jeunes filles désinvoltes. Il y rencontre aussi Saint-Loup, qui deviendra son ami, et son oncle, le baron de Charlus, aux manières étranges.
Dans ce 2ème volume de La Recherche (cf. Du côté de chez Swann) le narrateur est adolescent. Il est amoureux de Gilberte Swann qu’il a rencontrée à Combray. A Paris il se fait admettre chez ses parents. Il est fasciné par leur luxe et la beauté de Mme Swann. Il rend souvent visite à Gilberte, puis leurs relations s’espacent et il en souffre. M. Swann lui fait rencontrer l’écrivain Bergotte, à qui il parle de son désir d’écrire. Deux ans plus tard le narrateur se trouve sur la côte normande à Balbec qu’il rêvait de visiter. Il est très déçu par la réalité des lieux, mais intéressé par un groupe de jeunes filles désinvoltes. Il y rencontre aussi Saint-Loup, qui deviendra son ami, et son oncle, le baron de Charlus, aux manières étranges.
« Ma mère, quand il fut question d’avoir pour la première fois M. de Norpois à dîner, ayant exprimé le regret que le Professeur Cottard fut en voyage et qu’elle-même eût entièrement cessé de fréquenter Swann, car l’un et l’autre eussent sans doute intéressé l’ancien Ambassadeur, mon père répondit qu’un convive éminent, un savant illustre, comme Cottard, ne pouvait jamais mal faire dans un dîner, mais que Swann, avec son ostentation, avec sa manière de crier sur les toits ses moindres relations, était un vulgaire esbrouffeur que le Marquis de Norpois eût sans doute trouvé selon son expression, «puant». »
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